Votre navigateur est configuré pour refuser les fichiers témoins cookies. Certaines parties du site pourraient ne pas fonctionner correctement ou ne pas être disponibles. Certaines informations présentées pourraient aussi s'adresser à d'autres utilisateurs que vous. Voir la procédure pour activer les cookies La version de votre fureteur n'est pas supportée par le site. Certaines parties du site pourraient ne pas fonctionner correctement ou ne pas être disponibles. Voir la procédure pour mettre votre fureteur à jour Découvrez nos différents types de protection Assurance vie temporaire La protection la plus abordable et la plus flexible Protection à court ou à moyen terme respectant votre budget Transformation possible en une protection permanente sans preuves de bonne santé En savoir plus - Assurance vie temporaire Assurance vie permanente Vous serez protégé toute votre vie Protection la plus économique à long terme et offrant un grand choix d’options Investissement récupérable en partie si vous réduisez votre protection ou y mettez fin En savoir plus - Assurance vie permanente Assurance vie avec participation Assurance vie universelle Une protection comprenant des options d’investissement Planification de votre succession et investissement à l’abri de l’impôt Protection à envisager si vous avez atteint le maximum des cotisations à vos REER, REEE et CELI En savoir plus - Assurance vie universelle Assurance vie pour les 50 ans et plus Service à la clientèle Ces protections d'assurance de Desjardins Assurances sont distribuées, au Québec, par Desjardins Sécurité financière, cabinet de services financiers. Desjardins Assurances désigne Desjardins Sécurité financière, compagnie d'assurance vie.
Jesuis handicapé à 80%, / je vends une maison que j’ai hérité de mes parents.Ai-je droit à une exonération de plus value immobilière, sachant que je suis marié.Notre revenu fiscal pour 2019 est de 28.064, Le nombre de part est de 3 et nous ne payons pas d’impotsmon épouse est également handicapée à 80%Est-ce que les parts de mon épouse rentrent en compte (1part etL'assurance-vie, avec près de 1 500 milliards d'euros investis, est le placement préféré des Français. Devenue un produit financier courant, vendue par d'innombrables réseaux et pour tous les niveaux de patrimoine, elle fait figure de produit financier simple. Pourtant, ses particularités juridiques, fiscales et financières en font un placement plus compliqué qu'il n'y paraît. Aussi, pour en tirer le meilleur parti, mieux vaut s'y pencher à deux fois et éviter de tomber dans les travers les plus fréquents...1. Attendre pour ouvrir un contratL'assurance-vie réserve sa fiscalité la plus avantageuse aux contrats qui ont une durée d'au moins huit ans les gains retirés à partir de ce délai bénéficient en effet d'un abattement de 4 600 euros chaque année 9 200 euros pour un couple marié et l'excédent éventuel est taxé au taux réduit de 7,5 %. Peu importe la date à laquelle l'argent a été versé, car seule la date d'ouverture du contrat est prise en conseil "Il faut ouvrir un ou plusieurs contrats au plus vite, même avec des sommes modestes, pour commencer à faire tourner l'horloge fiscale", recommande Christian Pruvost, directeur chez Natixis Assurances. Ainsi, lorsque vous aurez de grosses sommes à placer plus tard, vous n'aurez pas à attendre longtemps pour profiter des Tout miser sur un seul assureurAvoir une assurance-vie, c'est bien. En avoir plusieurs, c'est encore mieux. Vous pouvez ainsi diversifier les risques, limiter les conséquences d'une défaillance d'un assureur et profiter d'une plus large ouverture financière, car chaque contrat comporte sa propre gamme de fonds d'investissement. Le rendement d'un fonds en euros est également variable d'une société à l'autre. Vous limiterez ainsi les risques de sous-performance de l'un d'eux. Vous pourrez aussi plus facilement jongler avec différents bénéficiaires. Le nombre d'assurances-vie n'étant pas limité, ne vous privez conseil Ne vous dispersez pas pour autant, car la gestion de multiples contrats peut vite devenir Se décider sans regarder tous les fraisAu moment de souscrire un contrat, la plupart des épargnants se focalisent sur les frais d'entrée, ceux qui sont prélevés sur chaque versement. Il est vrai qu'ils diminuent d'autant le montant investi et retardent le moment où l'argent commence à fructifier. Pourtant, ce ne sont pas les plus handicapants ceux prélevés chaque année au titre de la gestion sont bien plus lourds à long terme, car prélevés chaque année sur un capital en augmentation. Attention aussi aux frais d'arbitrages. Si beaucoup de contrats, notamment sur Internet, ne les facturent plus aujourd'hui, quelques assureurs continuent à avoir la main lourde en prélevant jusqu'à 1 % des montants, ce qui freine les investisseurs au moment de faire changer de cap à leur conseil Pas plus de 2 % sur les frais d'entrée, moins de 0,7 % pour les frais de gestion, et 0 % sur les arbitrages. C'est sous ces niveaux qu'on juge qu'un contrat est bon marché. Méfiez-vous si la note est plus élevée, sauf si la vente du contrat s'accompagne de conseils très Souscrire sur une promesse de taux3 % garantis l'année prochaine ? C'est le genre de promesse à laquelle beaucoup de souscripteurs ont envie de succomber."C' est une erreur, estime Aymeric Oudin, directeur de la MACSF,car il s'agit d'une garantie à court terme, qui n'a pas forcément grand rapport avec le rendement réel qu'aura le fonds en euros, le compartiment garanti de l'assurance-vie, sur le long terme." N'oubliez pas qu'un contrat est appelé à durer parfois plusieurs dizaines d'années...Le conseil Regardez le rendement du fonds en euros sur plusieurs années et sa tendance. Les meilleurs du marché ne font pas de Investir uniquement dans le fonds en eurosLe fonds en euros garanti de l'assurance-vie ressemble à une martingale il rapporte plus que tous les placements sans risque, il ne peut jamais perdre de valeur, et les intérêts que l'on accumule au fil du temps bénéficient de la même sécurité. Pas étonnant que les détenteurs d'assurance-vie lui consacrent plus de 85 % de leurs investissements. Problème son rendement s'érode d'année en année. Il est tombé en moyenne à 2,9 % et on n'attend rien de mieux en 2013."Diversifier son contrat avec de l'immobilier, des obligations et des actions est vivement recommandé, c'est le meilleur moyen de trouver de la rentabilité et de s'affranchir des cycles de marché", estime José Fernandez, directeur à l' conseil Conservez sur le fonds en euros l'argent dont vous pourriez avoir besoin rapidement. Et prenez l'air du large pour les sommes qui resteront investies à long terme... mais en choisissant des fonds de qualité, qui ont fait leurs Vendre quand les marchés baissentVous avez investi sur un support en actions et l'avez revendu lorsqu'il a décroché de 10 % ou plus ? Raté. Vous n'avez pas pu profiter de la remontée des cours quand la Bourse est repartie à la hausse. Comme pour un portefeuille boursier, il faut savoir faire le dos rond et continuer à investir dans la tourmente, quitte à modérer les sommes versées. Vous en profiterez quand le cycle s'inversera."Il est recommandé de ne pas prendre de décision à chaud et de faire le point une ou deux fois par an pour prendre des décisions en fonction des évolutions profondes des marchés, prévient José vaut mieux vendre après une hausse et mettre ainsi ses gains à l'abri." Le conseil Méfiez-vous des arbitrages automatiques "stop loss"arrêt des pertes, car ils vous font sortir des marchés et concrétiser votre perte, mais ne vous permettent pas d'y rentrer à nouveau rapidement s'ils repartent à la Investir après 70 ans sur un contrat ancienC'est une bonne idée de continuer à investir en assurance-vie après 70 ans, car de nouveaux avantages s'ajoutent à ceux acquis avant cet âge."Mais mieux vaut le faire sur un nouveau contrat, met toutefois en garde Aymeric défaut, si vous avez besoin d'argent et que vous effectuez un rachat, celui-ci sera prélevé proportionnellement sur les deux compartiments fiscaux celui d'avant 70 ans et celui d'après." Le conseil Ouvrez un contrat après 70 ans pour accueillir vos nouveaux versements et effectuez vos rachats sur ce contrat en priorité pour conserver intacts les avantages successoraux acquis avant cet Ne pas préciser le remploi de biens propresUn classique. Une personne mariée sous un régime communautaire reçoit une donation ou un héritage, puis elle l'investit dans son assurance-vie. Résultat le contrat appartient à la communauté et la moitié de l'argent revient à son conjoint, en cas de divorce par exemple."Pour éviter cela, il suffit de faire une déclaration de remploi au moment d'investir, afin que la somme d'argent reste identifiée comme un bien propre", conseille Marie-Hélène Poirier, directrice juridique et fiscale chez Swiss conseil Ne mélangez pas vos biens propres avec l'assurance-vie du ménage. Mieux vaut investir cet argent dans un contrat spécifique, quitte à nommer le conjoint Désigner un seul bénéficiaireLa clause bénéficiaire d'un contrat d'assurance-vie permet de désigner la ou les personnes à qui reviendront les capitaux au décès de l'assuré. Elle est très importante, car elle conditionne les avantages civils l'assurance-vie ne fait pas partie de la succession et fiscaux exonérations de droits du contrat. Il faut donc éviter de désigner un seul bénéficiaire, car, si celui-ci disparaît avant l'assuré, il n'y aura plus personne de désigné au contrat, et ce dernier reviendra dans la succession, avec la dévolution et la taxation conseil Prévoyez toujours plusieurs rangs de bénéficiaires pour parer à cette éventualité, en ajoutant "à défaut" après chacun d'eux "Mon conjoint, à défaut mes enfants nés ou à naître, à défaut mes héritiers". Ainsi, il y aura toujours un ou plusieurs bénéficiaires désignés qui profiteront intégralement des avantages de l' Ne pas rédiger une clause spécifique si vous êtes pacsé"Mon conjoint, à défaut mes enfants" c'est l'ordre des bénéficiaires que prévoient la plupart des contrats dans leur clause bénéficiaire type. Si elle est valable pour un couple marié,"elle ne l'est pas pour des personnes pacsées, car le partenaire n'a pas la qualité de conjoint", met en garde Marie-Hélène conseil Pour que les capitaux reviennent à votre partenaire de pacs, remplacez la mention "mon conjoint" par "mon partenaire". Et si vous vous mariez ultérieurement, pensez à mettre la clause à jour. C'est gratuit .11. Désigner le conjoint bénéficiaire par son nomLe mieux est souvent l'ennemi du bien. La preuve avec cette désignation fréquente "Mon conjoint, M. ou Mme X." En cas de divorce ultérieur et de remariage, l'assureur ne saura pas s'il faut verser le capital à votre conjoint lors du décès, ou à celui que vous avez désigné nominativement. Il demandera donc à la justice de trancher, et vos volontés risquent de ne pas être conseil Désignez tout simplement votre "conjoint", en précisant "Non divorcé, ni séparé de corps". C'est la personne qui aura cette qualité lors de votre décès qui recevra les capitaux. Sauf, bien sûr, si vous voulez vraiment avantager votre conjoint actuel, quoi qu'il arrive par la Oublier la représentation et la renonciationAutre classique un assuré désigne ses enfants comme bénéficiaires avec la volonté qu'ils soient traités à égalité. Si l'un d'eux disparaît prématurément, ce sont les seuls enfants survivants qui se partageront le capital. Les enfants de l'enfant disparu, eux, n'auront droit à rien."Le mécanisme de la représentation[NDLR les petits-enfants prennent la place de leur parent]ne se présume pas. Il faut donc apporter cette précision", explique Aymeric Oudin. Idem si vous voulez que l'un de vos enfants puisse renoncer au capital prévu en sa faveur au profit de ses propres enfants "Si la renonciation n'est pas indiquée dans la clause, elle ne peut avoir lieu et les enfants du renonçant n'ont droit à rien", détaille Anne Moreau, directrice à l' conseil Indiquez dans la clause bénéficiaire "Mes enfants, nés ou à naître, vivants ou représentés par suite de prédécès ou de renonciation." Ainsi, tous les cas de figure seront Désigner les ayants droit comme bénéficiairesMieux vaut ne pas utiliser des mots que vous ne maîtrisez pas totalement dans la désignation des bénéficiaires, car cela peut réserver de mauvaises surprises. Ainsi, si vous indiquez dans la clause que le capital reviendra à vos "ayants droit", ce sont vos héritiers qui le recevront, mais aussi vos créanciers !Le conseil Si vous n'êtes pas juriste, ne vous lancez pas seul dans la rédaction d'une clause sur mesure. Demandez conseil à votre conseiller ou à l' Utiliser un vocabulaire successoralIl est possible de rédiger la clause bénéficiaire de votre contrat par testament. Mais, dans ce cas, attention aux mots utilisés il ne faut pas indiquer que vous "léguez" le capital,"car, pour les juges, ce mot sous-entend que vous entendez inclure le capital dans la succession", décrypte Marie-Hélène Poirier. De ce fait, il perdra les avantages civils et fiscaux attachés à l' conseil Ecrivez plutôt que le capital de l'assurance-vie est "attribué"à la personne que vous avez choisie. Il n'y aura alors pas de contestation Démembrer sans prévoirLe démembrement de clause bénéficiaire est à la mode. Il permet d'attribuer la jouissance du capital à une personne, en général le conjoint, et la nue-propriété à d'autres, les enfants le plus souvent. C'est une astuce fiscale intéressante les enfants seront créanciers du conjoint et recevront donc, à son décès, la valeur de l'assurance- vie sans droits de succession. Attention, l'abattement de 152 500 euros sur les droits à acquitter au moment du décès de l'assuré est partagé entre l'usufruitier et le ou les nus-propriétaires."En l'absence de liens entre l'usufruitier, le nu-propriétaire, par exemple un nouveau conjoint et des enfants d'un premier lit, il faut aménager la clause pour prévoir la protection des nus-propriétaires", prévient Marie-Hélène Poirier. A défaut, ils pourraient ne jamais recevoir l'argent qui leur est conseil Dans une famille recomposée, prenez conseil auprès d'un juriste pour démembrer la clause bénéficiaire, et écartez la possibilité d'un "quasi-usufruit", car l'usufruitier jouit de l'intégralité du capital et peut le dépenser. La créance des enfants ne vaut alors que du vent... Et aussi16. Récupérer votre argent en une seule fois Evitez de racheter votre contrat de plus de huit ans sur une même année s'il est bien garni vous ne profiteriez qu'une seule fois de l'abattement d'impôt sur le revenu 4 600 euros de gains, ou 9 200 euros pour un couple. Dans la mesure du possible, mieux vaut étaler la sortie sur plusieurs années, pour profiter plusieurs fois de l'abattement. 17. Choisir la rente quand on paie l'ISF Contribuables soumis à l'ISF, gare à la rente la valeur constitutive le capital transformé s'ajoutera à l'ensemble de votre patrimoine, même si vous n'en avez plus la disposition. 18. Oublier de préciser le mode d'imposition à la sortie Au moment de faire un rachat retrait d'argent, précisez à l'assureur le mode d'imposition choisi." A défaut, les gains retirés s'ajouteront à vos autres revenus et seront taxés selon votre tranche marginale d'imposition ", prévient Anne Moreau. Le prélèvement forfaitaire libératoire est presque toujours plus intéressant pour un contrat de huit ans et plus. 19. Racheter un très vieux contrat Les contrats souscrits avant novembre 1991 et ceux ouverts avant 1983 renferment des avantages successoraux aujourd'hui introuvables. Essayez de les garder pour optimiser votre succession et transmettre sans droits, ou avec des droits réduits. 20. Rédiger une clause bénéficiaire bancale Pour qu'une clause bénéficiaire puisse être exécutée par l'assureur, il faut qu'elle soit correctement rédigée et juridiquement incontestable. 2,9 %Rendement moyen des fonds en euros garantis en 2012. Il devrait être identique en 500 eurosFranchise d'impôt dont bénéficie chaque bénéficiaire d'une assurance-vie en cas de décès de l'assuré, à condition que les cotisations aient été investies avant 70 435 milliardsEnsemble des sommes placées en assurance-vie au 31 juillet 2013. C'est le placement préféré des Français.LaCaisse nationale d’assurance-vieillesse peut encore être sollicitée par les proches du défunt pour demander le remboursement de frais d’obsèques. Dans ce cas, il faut envoyer un certificat de décès et une facture des frais d’obsèques. Le remboursement par la CNAV est plafonné à 2 286,74 € en 2020, mais il est pris sur les Que devient l'assurance vie en cas de décès ? Nicolas F. MAJ janvier 2021 L’assurance vie est plébiscitée par les Français pour ses qualités de produit d’épargne. Mais c’est également un excellent outil pour transmettre un patrimoine. Que devient un contrat d’assurance vie en cas de décès ? Et quelles sont les règles d’imposition ? Éléments de réponse. 1 Que devient l’assurance vie en cas de décès ? Deux cas de figure lorsque l’assuré d’un contrat d’assurance vie décède si aucun bénéficiaire n’a été désigné, le capital de l’assurance vie entre directement dans l’actif de la succession. Dès lors, l’assurance vie revient aux héritiers, et se retrouve soumise aux droits de succession ; si un ou plusieurs bénéficiaires ont été désignés, l’assurance vie est transmise en dehors de la succession. Par exemple, il est courant de retrouver une clause bénéficiaire prévoyant – dans cet ordre – le conjoint, les enfants et les autres héritiers ». Lors du décès, l’assurance vie est transmise au conjoint, qui est listé au premier rang des bénéficiaires. Si celui-ci n’accepte pas le bénéfice du contrat, le capital revient au bénéficiaire du deuxième rang, à savoir les enfants. Et ainsi de suite. A noter les clauses bénéficiaires peuvent être créées sur-mesure, pour répondre précisément aux besoins du souscripteur. Leur rédaction doit donc se faire avec la plus grande attention. Le bénéfice du contrat peut également être démembré. Cela permet par exemple d’en affecter l’usufruit pour un bénéficiaire, tandis que l’autre jouira de la nue-propriété. 2 L’assurance vie fait-elle partie de la succession ? Dans la plupart des cas, le bénéfice d’un contrat d’assurance vie ne fait pas partie de la succession de l’assuré décédé. Les bénéficiaires ne sont donc pas taxés. Mais il existe deux cas de figure précis pour lesquels le contrat est réintégré dans la succession, pour être imposé lorsque le contrat a été ouvert après le 20 novembre 1991 et que des primes ont été versées après le 70e anniversaire du souscripteur au-delà de 30 500 € ; lorsqu’aucun bénéficiaire n’a été désigné par le souscripteur 3 Quelle fiscalité de l’assurance vie en cas de décès ? En cas de décès du souscripteur, la fiscalité d’une assurance vie dépend de la date d’ouverture du contrat ; de l’âge du souscripteur lors des versements ; du montant de ces versements. Par exemple, une assurance vie souscrite avant le 20 novembre 1991 bénéficie d’une exonération totale des capitaux qui sont transmis, pour les versements de primes avant le 13 octobre 1998. Les primes versées après le 13 octobre 1998 bénéficient d’un abattement de 152 500 € par bénéficiaire, puis une taxation sur le reste. 20 % jusqu’à 700 000 € et 31,25 % au-delà . 4 Que devient le contrat si le conjoint du souscripteur décède ? Le conjoint du souscripteur peut décéder avant le souscripteur lui-même. S’il était bénéficiaire du contrat d’assurance vie, il est judicieux de modifier la clause bénéficiaire. Le souscripteur est libre de désigner le nouveau bénéficiaire de son choix. Si le souscripteur ne modifie pas la clause bénéficiaire, ce sont les bénéficiaires du deuxième rang qui recevront le capital de l’assurance vie lors du décès du souscripteur. Ou éventuellement ceux du troisième rang et ainsi de suite. Quant à la fiscalité, les conditions restent les mêmes. L’imposition se fait en fonction des dates de souscription du contrat ; des dates des différentes primes versées ; de l’âge du souscripteur lors des versements. Côté MAIF Des formules adaptées à votre profil d’épargnant Un contrat adapté à vos objectifs de placement Une épargne responsable et solidaire qui soutient l’emploi et l’environnement Sur le même thème Comment retrouver une assurance vie ? Savoir si l’on est bénéficiaire d’un contrat d’assurance vie n’est pas toujours facile. Mais désormais, après le décès d’un souscripteur, les assureurs doivent rechercher les bénéficiaires d’un contrat. Et une loi organise la marche à suivre pour réclamer les fonds. Comment savoir si je suis bénéficiaire d’une assurance vie ? En souscrivant une assurance vie, on peut choisir un ou plusieurs bénéficiaires, qui recevront un capital au décès de l’assuré. Comment savoir si l’un de vos proches vous a désigné comme le bénéficiaire de son assurance vie ? Quelles démarches accomplir pour que le capital vous soit versé ? Que se passe-t-il quand mon assurance vie arrive à échéance ? Un contrat d’assurance vie n’a pas de durée légale et la plupart des assureurs propose des assurances vie avec une date d’échéance à huit ans pour des raisons fiscales, suivie d’une tacite reconduction annuelle. Mais il est possible de prévoir une date d’échéance différente. Que devient le contrat en cas de décès du souscripteur ? Et que faut-il faire pour récupérer son épargne en cas de vie de l’assuré ? Le point. Comment changer les bénéficiaires de votre assurance vie ? Votre situation a évolué et vous souhaitez changer le ou les bénéficiaires de votre assurance vie ? C’est possible ! Comment révoquer un bénéficiaire ? Comment en désigner un nouveau ? Explications. Divorce que devient l’assurance vie du couple ? L’assurance vie est un contrat d’épargne choisi par de nombreux couples, notamment grâce aux avantages fiscaux qu’il offre en cas de décès au conjoint survivant. Mais, en cas de divorce, à qui revient le capital de l’assurance vie ? Tout dépend du régime matrimonial sous lequel le couple avait choisi de se marier. Qu’est-ce que le nantissement de l’assurance vie ? Le nantissement d’un contrat d’assurance vie sert de garantie à une banque ou à un établissement de crédit. Lors de la mise en place d’un prêt immobilier par exemple, le nantissement remplace une hypothèque ou une assurance de prêt. Voici comment nantir une assurance vie.
Assurancevie achat maison ont été versés sur internet. À un certain niveau de de 200 000 euros et roissy. En mois consécutifs, notamment s’il s’agit de la assurance vie ing rendement portabilité du temps madame dupont possèdent une participation aux copropriétés pour l’offre et les primes optimax 100% germains, sont à la possibilité de succession, on
Lassurance vie pour payer une maison de retraite. Le financement d’une chambre en maison de retraite est quelque chose qui s’anticipe. C’est une dépense très importante pour les séniors qui ont peur souvent, d’être une charge pour leurs enfants. L’assurance-vie figure alors comme une bonne solution pour payer une place en Ehpad.
Avec l'aide d'experts, Pleine vie répond à vos questions sur vos placements et votre épargne. Est-il vrai que, sur une assurance-vie de plus de 10 ans, nos enfants devront payer des frais pour percevoir le capital ? Si oui, combien ? Il est important de clarifier la définition de frais ». Si l’on parle de frais de contrat, il n’y en a généralement pas à vérifier dans les conditions générales de votre contrat. Si l’on parle de frais fiscaux », ils peuvent être de 2 ordres des prélèvements sociaux sont dus sur la fraction des intérêts non encore taxés ; des droits de succession éventuels sont à la charge des bénéficiaires de votre assurance-vie. Ils varient selon la date à laquelle vous avez épargné sur votre assurance-vie. Si tous vos versements ont été effectués avant vos 70 ans, chaque bénéficiaire en sera exonéré jusqu’à 152 500 €. Au-delà , il paiera des frais de succession de 20 %. Si vous avez effectué des versements après vos 70 ans, ceux-ci génèrent des droits de succession du même montant que dans une succession classique au-delà de 30 500 €, tous contrats confondus. Je voudrais transférer mon assurance-vie Axa vers une autre assurance-vie de ma banque BNP pour regrouper mon patrimoine. Comment faire ? Ce n’est pas possible ! La loi Pacte autorise le transfert des capitaux d’un contrat d’assurance-vie sur un autre contrat, uniquement au sein de la même compagnie d’assurance. Vous pouvez donc changer de contrat, mais pas d’assureur. Sauf à clôturer le premier contrat et en ouvrir un nouveau chez l’opérateur de votre choix. Mais vous perdrez alors l’antériorité fiscale. C’est-à -dire les avantages fiscaux qui peuvent être liés à l’âge ou à la date des versements de votre contrat par exemple avant vos 70 ans. L’assurance-vie, un outil pour transmettre en dehors de la succession L’assurance-vie permet de transmettre un capital aux personnes de son choix dans un cadre fiscal avantageux. Les bénéficiaires sont désignés par le signataire et les sommes concernées n’entrent pas dans la succession. Merci à Florence Brau Billod, présidente de Patrimoine SA.